Mi-juin de l'année 2007. Lui se cherche un appartement; elle se cherche un coloc de toute urgence... Ils prennent la décision précipitée de vivre ensemble, sans savoir ce qui les attend l'un l'autre... Un choix qu'ils regrettent amèrement depuis. En fait, l'idée de faire un blogue à ce sujet a été le seul commun accord qu'ils ont pu avoir. En attendant donc impatiemment le 30 juin 2008...

mercredi 3 octobre 2007

Rectifications...

Bon, voilà maintenant qu'il se permet de commenter mes agissements... Piètre analyse cher coloc!

Remettons donc les pendules à l'heure.

Premièrement, insinuer - et je cite - "qu'il est italien: le cliché, quoi! Et elle se laisse berner quand même..."

Là-dessus, il faut tirer quoi comme conclusion, dites-moi? Que les filles qui frenchent dans un bar, et des italiens de surcroît, se font berner? C'est vrai que nous, membres du sexe faible, on se fait toujours avoir par les méchants hommes! Et pas de danger qu'on ait juste le goût d'avoir du fun en ayant pleinement conscience de ce qu'on fait, ben non voyons!

Deuxièmement, il dit que je cherchais toujours son regard approbateur? Encore une fois, il est évident que je ne peux rien faire toute seule, du moins ça semble là être son opinion. Mais je crois plutôt que je me souciais de ne pas le laisser tout seul. Au départ, quand je flirtais avec l'italien, nous n'étions que tous les trois. Je craignais de le laisser à part. J'ai déjà été la troisième roue du carosse et je sais que ce n'est pas une situation très agréable. Mais bon, voyez ce que ça fait de se préoccuper des gens...

Troisièmement, il critique ma vie sexuelle? De quel droit? Aucune idée! Pour ton information mon cher coloc.. (et là, savourez le moment de mauvais reality show!) eh bien, l'italien est bel et bien resté coucher! (Wow... quel revirement de situation!) La raison pour laquelle tu ne l'as pas revu le lendemain matin est que je l'ai mis à la porte tôt, prétextant que j'avais une foule de chose prévues au cours de la matinée.

Pourquoi ne pas lui avoir dit? Juste parce que ce n'était pas de ses affaires! On n'est que colocs tsé...

La prochaine fois, il devrait penser un peu plus avant de tirer des conclusions sur ma vie...

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