
Je l’ai remercié quand je l’ai vu hier et je lui ai dit que j’avais bien apprécié. C’était sincère en plus, alors ça lui a fait plaisir.
«Aussitôt que tu en veux d’autre, tu viens cogner à ma porte», m’a-t-il dit. Et selon le ton qu’il a utilisé, je comprends qu’il ne veut rien me vendre mais qu’il s’agit bien d’un cadeau. Je trouve ça presque dommage d’avoir réussi à tisser d’aussi bons liens avec notre proprio et de devoir quitter quand même. À propos, j’ai commencé à lire les petites annonces pour me trouver un autre logement.
Et puisque de toute évidence Émilie ne fait aucun effort pour se trouver un autre colocataire, je lance l’appel à tous. Ma chambre sera libre le 1er juillet prochain.
Si vous êtes à la recherche d’un endroit où rester, où la vaisselle est rarement faite, où la poussière s’accumule pendant des semaines, où vous n’aurez jamais vraiment su quand passe le camion du recyclage, j’ai quelque chose pour vous. À 750$ par mois, chauffé, caféiné.
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